Un sourire qu'il voulait béa barrait le visage de Valer. Il devait plutôt ressembler à ces faces d'ivrognes forçant leurs traits.Guillotine a écrit : Elle va à la rencontre de Valer juste un peu avant qu'il n'arrive à porté d'oreille des passagers, près du feu.
"Contente de te voir vivant.", chuchote-t-elle. "J'ai essayé de te faire sortir, tout à l'heure. Mais Fergusson gueulait et la gamine à la peau de riche a chougnait et pour un tas d'autres raisons, j'imagine, ça n'a pas marché. Tu sais, je ..."
Elle s'interrompt.
"Ouais. Allons près du feu. Tu as rencontré Lazare ? Il est chouette."
Guillotine avait joint le geste à la parole, et ils se rapprochaient tout deux de Lazare. Pour saluer ce dernier, Valer tendit la main et ajouta : Et bien, au moins vous semblez bien vous porter. Vous n'aurez pas besoin qu'on vous tire de votre trou.
Il se voulait agréable pourtant... un peu désinhibé, mais agréable.