Coucou !
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Mais ça y est ! C'est revenu !
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Khin
(29/11/2020)
[RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
- La Licorne Ailée
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
* Ivy n'avait pas bougé de son fauteuil, mais elle avait fixé le nouvel arrivant d'un œil noir.
Il s'était présenté à Valer... Pourquoi lui en particulier ?
La vampire le surveillait attentivement, attendant un éventuel ordre de la Capitaine... *
Il s'était présenté à Valer... Pourquoi lui en particulier ?
La vampire le surveillait attentivement, attendant un éventuel ordre de la Capitaine... *
Dernière modification par La Licorne Ailée le 21 mars 2011, 10:20, modifié 1 fois.
I can't resist the liquid rubies that run into your veins...
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- Antoine Jolivet
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
« Ah, enchanté, cher Monsieur Daviep... vous incarnez la Providence, en quelque sorte... »"Bonjour Monsieur. Je suis Valer Daviep. Etes vous un nouveau passager ? Que puis-je faire pour vous aider ? Je ne suis pas à bord depuis très longtemps mais je pense que je saurais vous aiguiller."
Antoine Jolivet tendit la main à son interlocuteur et lui administra un solide et long « shake hand ».
C'était un homme de taille moyenne, mais que ses efforts pour paraître plus grand faisait, paradoxalement, considérer comme plus petit...
Ses vêtements, un peu trop ajustés, accentuaient cet effet, comme d'ailleurs sa gestuelle, presque mécanique, et qui déclenchait inévitablement des sourires, voire même de franches crises d'hilarité.
« Monsieur Daviep, je suis envoyé par deux organes de presse belges, aux fins de réaliser un reportage à bord de ce dirigeable ... où malheureusement, j'avoue ne connaître personne...
Auriez-vous l'extrême obligeance de me présenter auprès du capitaine de ce navire, milady... heu... Chapillon ? Et... si je ne craignais d'abuser... à l'occasion, pourriez-vous me renseigner quelque peu sur ... disons, les aspects pratiques de la vie à bord ? Je vous en serais vraiment très reconnaissant. »
Il souriait tout au long de sa tirade, les yeux plissés derrière de petites lunettes aux verres légèrement fumés.
Sentant les regards posés sur lui, il adressa un signe de tête affable à la ronde...
"Pour partir à la chasse au Cirage Noir, la nuit, il convient de d'abord se munir d'une lampe-torche"
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Le capitaine lui répondit après un long silence, elle semblait sortir d’un songe.marius nightmare a écrit :Ben voila Lady, mon boulot c'est d'aider lors d'expéditions et j'ai eu par le passé disons quelques pépins sévères qui faillirent couter à moi et aux autres la vie. Bon c'est pas moi qui les déclenchaient ni les terminaient mais j'étais dans les parages et j'étais bien obliger de prendre part. Aussi j'aimerais apprendre à piloter, en cas de pépins, je pourrais toujours dépanner tant bien que mal. Enfin, si vous n'avez rien contre.
« Je pense que vous avez raison. Il est toujours bon d’avoir plusieurs cordes à son arc. Je ferais part de vos doléances au pilote, ainsi vous pourrez l’assister lors de nos prochains voyages. »
Dans un coin du club, Cole Blaquesmith semblait faire connaissance avec Ivy. Leur discussion bien que animée restais, en apparence, courtoise.
« D’une manière générale, vous ne devez pas hésiter à élargir le cercle de vos connaissances, ainsi si vous souhaiter apprendre…. »
Leur conversation fut interrompue par l’entrée dans le club de Valer titubant. Il semblait faible et Marius se leva prestement pour se porter à sa rencontre. Alors que les deux antagonistes discutaient dans l’entrée, un nouvel arrivant pénétra dans le club. Il tendit sa carte à Valer, qui se trouvait être le plus proche de lui à cet instant.
Celui-ci se contenta de remettre la carte de visite à Lady Chapillon. Voyant le nom, elle reprit en main les lettres du matin.Antoine Jolivet a écrit :« Monsieur Daviep, je suis envoyé par deux organes de presse belges, aux fins de réaliser un reportage à bord de ce dirigeable ... où malheureusement, j'avoue ne connaître personne...
Auriez-vous l'extrême obligeance de me présenter auprès du capitaine de ce navire, milady... heu... Chapillon ? Et... si je ne craignais d'abuser... à l'occasion, pourriez-vous me renseigner quelque peu sur ... disons, les aspects pratiques de la vie à bord ? Je vous en serais vraiment très reconnaissant. »
« Monsieur Jolivet, je ne vous attendait pas si tôt. Vos missives ne vous on précédé que de peu de temps. Je ne vous cacherais pas que votre arrivée n’était pas vraiment prévue. De plus la Fée Mécanique et ses passagers se trouvent dans une situation pour le moins… délicate. En attendant de prendre une décision et n’étant pas des sauvages, je vous invite à vous restaurer avec nous et de prendre un peu de repos à bord. »
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Marius tout guilleret répondit: merci Captaine 
Il attaqua ensuite son pti déj, le ventre creusé par cette bonne nouvelle, avant de reprendre la conversation:
Si vous manque des compétences, je serais ravis de compléter à bord après une rapide formation, parait que j'apprends vite tant qu'il y a pas trop à réfléchir ou que c'est dans les sensations

Il attaqua ensuite son pti déj, le ventre creusé par cette bonne nouvelle, avant de reprendre la conversation:
Si vous manque des compétences, je serais ravis de compléter à bord après une rapide formation, parait que j'apprends vite tant qu'il y a pas trop à réfléchir ou que c'est dans les sensations

Dernière modification par marius nightmare le 21 mars 2011, 13:32, modifié 1 fois.
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Valer avait accompagné Antoine Jolivet à la table de Lady Chapillon, alors en compagnie de Marius N.
"Oui, installons nous et restaurez vous si vous en avez besoin ! Pour vous faire patienter, je vous propose une petite visite."
Valer désigna à Antoine Jolivet une table de libre et fit signe à un des automates serveurs qu'ils allaient commander quelque aliments ou boissons. Ce monsieur se disait journaliste. Par conséquent, il publiait un certain nombre de choses ; ce qui attisait l'intérêt du jeune chercheur.
De deux pas en retrait, Valer se rapprocha quand la conversation sembla terminée et s'adressa au nouveau venu.Lady Chapillon a écrit : « Monsieur Jolivet, je ne vous attendait pas si tôt. Vos missives ne vous on précédé que de peu de temps. Je ne vous cacherais pas que votre arrivée n’était pas vraiment prévue. De plus la Fée Mécanique et ses passagers se trouvent dans une situation pour le moins… délicate. En attendant de prendre une décision et n’étant pas des sauvages, je vous invite à vous restaurer avec nous et de prendre un peu de repos à bord. »
"Oui, installons nous et restaurez vous si vous en avez besoin ! Pour vous faire patienter, je vous propose une petite visite."
Valer désigna à Antoine Jolivet une table de libre et fit signe à un des automates serveurs qu'ils allaient commander quelque aliments ou boissons. Ce monsieur se disait journaliste. Par conséquent, il publiait un certain nombre de choses ; ce qui attisait l'intérêt du jeune chercheur.
Ciel ! Mon modo ! Mais non, ce n'est qu'un petit homme qui écrit en vert !
Laisser la littérature aux mains des imbéciles, c'est laisser la science aux mains des militaires. (Boris Vian)
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Antoine Jolivet, voyant le jeune Daviep se diriger vers une table, au centre du club, l’avait suivi.
Comme sa carte était remise à une jeune femme, élégante, et qui semblait perdue dans ses pensées, il en déduisit qu’il se trouvait en présence de Lady Chapillon.
Un fugitif serrement de cœur lui vint, voyant le même regard franc et clair, la même impression de calme autorité, qu’il avait rencontré, vingt-sept ans auparavant, lorsque, jeune apprenti, il…
« Allez Antoine, fieu (1), c’est pas le moment ! » se secoua-t-il intérieurement.
Le sourire qu’il adressa à la Capitaine n’était pas qu’un sourire de circonstance. Mais la partie serait difficile à jouer.
- « Vous ne m’attendiez pas ? Mais Madame, je... vous me voyez extrêmement confus… J’avais envoyé ces lettres il y a plus d’un mois… je suis désolé de vous mettre dans l’embarras… d’autant que… »
Il aurait fait peine à voir, si le résultat n’avait pas été du plus haut comique : ce petit homme un peu rond en tweed, sautillant presque sur la pointe des pieds, les mains triturant sa casquette, et encombré d’un petit ballotin dont il paru soudain se rappeler l’existence :
- « Ho… pour vous remercier de votre accueil, j’avais apporté des bonbons… enfin, une spécialité de chez nous : des chocolats. Nous les appelons « pralines »… N’ayez crainte, elles ont voyagé dans ma malle isotherme ! »
Puis il remercia Lady Chapillon pour son hospitalité, au moins temporaire.
Il allait pour se retirer, se ravisa, puis murmura, soudain avec un grand sérieux :
- « Madame… je ne désires pas être indiscret, et je comprends tout à fait que les circonstances… mais… s’il s’agit d’une situation… délicate… peut-être pourrais-je vous être de quelque utilité ? »
(1) Dialecte bruxellois : "fils, fiston"
Comme sa carte était remise à une jeune femme, élégante, et qui semblait perdue dans ses pensées, il en déduisit qu’il se trouvait en présence de Lady Chapillon.
Un fugitif serrement de cœur lui vint, voyant le même regard franc et clair, la même impression de calme autorité, qu’il avait rencontré, vingt-sept ans auparavant, lorsque, jeune apprenti, il…
« Allez Antoine, fieu (1), c’est pas le moment ! » se secoua-t-il intérieurement.
Le sourire qu’il adressa à la Capitaine n’était pas qu’un sourire de circonstance. Mais la partie serait difficile à jouer.
Le reporter parut instantanément effondré :« Monsieur Jolivet, je ne vous attendait pas si tôt. Vos missives ne vous on précédé que de peu de temps. Je ne vous cacherais pas que votre arrivée n’était pas vraiment prévue. De plus la Fée Mécanique et ses passagers se trouvent dans une situation pour le moins… délicate. En attendant de prendre une décision et n’étant pas des sauvages, je vous invite à vous restaurer avec nous et de prendre un peu de repos à bord. »
- « Vous ne m’attendiez pas ? Mais Madame, je... vous me voyez extrêmement confus… J’avais envoyé ces lettres il y a plus d’un mois… je suis désolé de vous mettre dans l’embarras… d’autant que… »
Il aurait fait peine à voir, si le résultat n’avait pas été du plus haut comique : ce petit homme un peu rond en tweed, sautillant presque sur la pointe des pieds, les mains triturant sa casquette, et encombré d’un petit ballotin dont il paru soudain se rappeler l’existence :
- « Ho… pour vous remercier de votre accueil, j’avais apporté des bonbons… enfin, une spécialité de chez nous : des chocolats. Nous les appelons « pralines »… N’ayez crainte, elles ont voyagé dans ma malle isotherme ! »
Puis il remercia Lady Chapillon pour son hospitalité, au moins temporaire.
Il allait pour se retirer, se ravisa, puis murmura, soudain avec un grand sérieux :
- « Madame… je ne désires pas être indiscret, et je comprends tout à fait que les circonstances… mais… s’il s’agit d’une situation… délicate… peut-être pourrais-je vous être de quelque utilité ? »
(1) Dialecte bruxellois : "fils, fiston"
"Pour partir à la chasse au Cirage Noir, la nuit, il convient de d'abord se munir d'une lampe-torche"
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Antoine salua La Capitaine, et suivi le jeune homme."Oui, installons nous et restaurez vous si vous en avez besoin ! Pour vous faire patienter, je vous propose une petite visite."
L'automate serveur semblait le fasciner... tout d'ailleurs dans ce Club aiguisait sa curiosité...
"Une visite m'enchantera au plus haut point ! Je suis sûr qu'avec un guide tel que vous, la vie à bord n'aura plus de secret pour moi"
Et il se commanda un café noir très sucré.
"Pour partir à la chasse au Cirage Noir, la nuit, il convient de d'abord se munir d'une lampe-torche"
(Th. B.)
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Msieur Valer et le nouveau venu un peu éloigné, Marius dit à voix basse juste pour elle: Lady Captaine, je sais pas, j'arrive pas à l'expliquer mais je doute qu'il nous veuille du bien, c't'homme là, faudrait le garder à l'oeil, qu'en dites-vous?
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Dans le palais du gouverneur.
Kain Fergusson attendait toujours la venue d’un interlocuteur. La pièce dans laquelle on le faisait patienter était un petit salon destiné à ce genre d’usage. La mise en scène était spectaculaire. Tout était fait pour impressionné le visiteur, la richesse des tentures, les statues, les rayonnages chargés de lourds ouvrages, et partout sur les murs des photographies et des gravures mettant le gouverneur Crane à son avantage.
Les gardes s’écartèrent pour laisser un homme qui semblait visiblement être leur supérieur, bien que vêtu en civil. Il s’assit dans le fauteuil club qui faisait face à Kain et sans prendre la peine de le saluer ou de se présenter, il commença à parler.
« Mes employés m’on indiqué que vous étiez à la recherche d’un certain Professeur Emile Clapeyron. Après avoir vérifié ce nom dans nos registres de visite il s’avère que nous n’avons jamais rencontré cet individu et que le cabinet du gouverneur ne connaît pas dénommé Clapeyron. Toutefois, vous devez savoir qu’il sera fait tous ce qu’il est en notre pouvoir pour nous apporter notre aide. Ainsi si vous le souhaitez nous pourrions vous fournir une escorte ainsi qu’une protection pour votre navire. »
Pendant que l’officiel récitait son soporifique discours, les yeux de Kain s’égaraient sur les gravures accrochées au mur. L’une d’elle attira plus particulièrement son attention. On pouvait y voir un groupe d’ingénieurs posant pour le début des travaux de chemin de fer dans la région, au centre on pouvait reconnaître clairement le Professeur Clapeyron qui semblait bien être le responsable du futur chantier.
Kain Fergusson attendait toujours la venue d’un interlocuteur. La pièce dans laquelle on le faisait patienter était un petit salon destiné à ce genre d’usage. La mise en scène était spectaculaire. Tout était fait pour impressionné le visiteur, la richesse des tentures, les statues, les rayonnages chargés de lourds ouvrages, et partout sur les murs des photographies et des gravures mettant le gouverneur Crane à son avantage.
Les gardes s’écartèrent pour laisser un homme qui semblait visiblement être leur supérieur, bien que vêtu en civil. Il s’assit dans le fauteuil club qui faisait face à Kain et sans prendre la peine de le saluer ou de se présenter, il commença à parler.
« Mes employés m’on indiqué que vous étiez à la recherche d’un certain Professeur Emile Clapeyron. Après avoir vérifié ce nom dans nos registres de visite il s’avère que nous n’avons jamais rencontré cet individu et que le cabinet du gouverneur ne connaît pas dénommé Clapeyron. Toutefois, vous devez savoir qu’il sera fait tous ce qu’il est en notre pouvoir pour nous apporter notre aide. Ainsi si vous le souhaitez nous pourrions vous fournir une escorte ainsi qu’une protection pour votre navire. »
Pendant que l’officiel récitait son soporifique discours, les yeux de Kain s’égaraient sur les gravures accrochées au mur. L’une d’elle attira plus particulièrement son attention. On pouvait y voir un groupe d’ingénieurs posant pour le début des travaux de chemin de fer dans la région, au centre on pouvait reconnaître clairement le Professeur Clapeyron qui semblait bien être le responsable du futur chantier.
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Re: [RP]31.5 A bord de la Fée Mécanique au Caire
Ce ne sera pas la peine, navré de cette erreur.Conte_FeeMecanique a écrit :« Mes employés m’on indiqué que vous étiez à la recherche d’un certain Professeur Emile Clapeyron. Après avoir vérifié ce nom dans nos registres de visite il s’avère que nous n’avons jamais rencontré cet individu et que le cabinet du gouverneur ne connaît pas dénommé Clapeyron. Toutefois, vous devez savoir qu’il sera fait tous ce qu’il est en notre pouvoir pour nous apporter notre aide. Ainsi si vous le souhaitez nous pourrions vous fournir une escorte ainsi qu’une protection pour votre navire. »
Kain se leva et quitta la piece sans prendre la peine de saluer l'homme, les gardes le suivirent de près jusqu'aux portes.
Ha ils voulais le prendre pour un con, très bien, jouer au con était l'une de ses spécialité.
Il retrouva son espion pré-pubère et lui confia la tache de surveiller le palais, avec l'aide de quelques un de ses amis.
Arrivé sur la Fée mécanique il se présenta devant lady Chapillon et lui fit le rapport de ses découvertes.
"je pense que Crane retient M. Clapeyron prisonnier, vu à quel point il est narcissique et le peu de temps dont il dispose, je pense que le professeur est toujours dans le palais, c'est une vrais place forte, et je vient de donner un coup de pied dans la ruche. Si il tente de le déplacer je serais au courant, mais je en pense pas qu'ils le feront. ils faudrait plus qu'une simple visite pour ça, il faudrait... mettons une petite bombe contre un mur d'enceinte et une tentative d'intrusion. Là oui, ils bougerais surement et on pourra le récupérer.
Your death wont event make a dot on the list of the people who's waiting for me in hell. So mouv away, or this wil be the last thing on heart that you refuse to do.
Kain Fergusson
https://www.facebook.com/pages/The-Froz ... 1246644322
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