[RP]30.2-Retrouvailles à Brooklyn

[the frozen joke]

"Bonne déduction Watson et essaye de pas nous faire tué ! Mais tu sais au moins où tu vas ?"

"Je pense que que la ligne droite qui s'offre à nous ne laisse guère de choix, et si un choix se présente nous consulteront Monsieur" Dit-il en désignant Emile du menton.
"Et au passage, tout mes client on survécu... preuve en est que vous ne pouvez pas en dire autant. Flicaillon de mes deux!"

[Nixon]

John esquissa un sourire.

"Prenez Emile avec vous, il vous sera surement très utile pour trouver la sortie."

"Tant mieux pour vous, ma fois je plains vos clients au passage et je préfère être ce que je suis que d'être vous même ! Mettons fin à cette discussion sans but et puérile, nous règlerons ça plus tard, je pense que les dames on autres choses à faire que de voir se battre deux cowboys à cette instant."

[La Licorne Ailée]

"Vous réussirez à porter votre ami tout seul ?"

" - Absolument aucun problème.
Quant à la sécurité de la Capitaine, Kain, je ferai de mon mieux, mais gardez quand-même un oeil sur elle, mh, c'est votre job après tout, je ne vous laisserai pas vous faire payer pour quelque chose que vous n'aurez pas fait. "

nous règlerons ça plus tard, je pense que les dames on autres choses à faire que de voir se battre deux cowboys à cette instant."

" - Exactement. Maintenant en route tout le monde, et en silence ! "

[Léonarius]

"Messieurs, pensez vous que c'est vraiment l'heure et le lieu?
Si vous souhaitez régler votre surplus de testostérone, nous organiserons un duel auquel nous serons ravi d'assister.
En attendant allons y. "

Léonarsius voulut montrer un coté détendu et ironique, même si la situation ne se prêtée pas.
Tout en souhaitant faire comprendre aux deux gardes du corps qu'il fallait agir plutôt que de palabrer.

S'approchant de Ivy :
"Je suppose que vous réussirez à le porter sans problèmes. Je vous suit et couvre vos arrières."
Et se mit derrière elle, surveillant les arrières de la colonne de fuillards qui se formée.

[the frozen joke]

Kain avais avancé sans relever la dernière tentative du cow-boy pour l’énerver. il n'avais vraiment pas le temps.

Quant à la sécurité de la Capitaine, Kain, je ferai de mon mieux, mais gardez quand-même un oeil sur elle, mh, c'est votre job après tout, je ne vous laisserai pas vous faire payer pour quelque chose que vous n'aurez pas fait. "

Kain sourit légèrement, cette fille avais du cran, et une grande gueule ce qu'il trouvais plaisant.
"Si il y a le moindre problème, il vous suffira de hurler tel une damoiselle en détresse. Et j'accourrais tel un p***** de prince de conte de fée!"
il se tourna vers Emile: "Vous m'indiquerez le chemin, mais rester en arrière tout de même."

[Lady Chapillon]

Relevant ses jupes
Allons y puisque nous avons tout le monde

[Fée Mécanique]

La progression de la petite équipe fût relativement rapide. Les agresseurs semblaient avoir disparu aussi vite qu'ils étaient arrivés, mais ils restaient sur leurs gardes. A la fin du long couloir, il traversèrent plusieurs pièces remplit d'immenses caisses en bois. Cela devait être les les réserves, mais ils ne prirent pas le temps de les observer. Déjà, parvenait à leurs oreilles, le bruit lointain des forces de l'ordre pénétrant dans le musée. Au bout de l'enchainement de salles, ils arrivèrent sur ce qui semblait être des quais de chargement, fermé par d'immenses portes.

[Emile Clapeyron]

voici la sortie de service
messieurs, si vous voulez bien entrouvrir cette porte? si c'est fermé, essayez avec cette grosse clef accrochée au clou (montrant le mur à coté du portail) pendant que je vais chercher mes affaires dans le bureau qu'on m'a donné (désignant un bureau vitré donnant sur les réserves, à l'autre bout de la pièce)

émile partit d'un bon pas dans la direction qu'il avait indiqué

[the frozen joke]

Kain saisi la clef et la fit jouer dans la serrure, elle tourna en grinçant, et il du forcer un peu pour faire glisser les portes le long des rails métallique qui la soutenais, juste assez pour observer l’extérieur au début, puis assez pour que le groupe puisse sortir.

Il sauta en bas du quai de déchargement et observa la rue, arme au poing.

[Korbak]

Les lieux ne plaisaient pas vraiment à Korben. Il était, de plus, forcé de fermer la marche, ce qui n'était pas pour plaire à l'homme d'action qu'il était.
Lorsque la porte s'ouvrir, il voulut rejoindre Kain en bas en un saut comme il venait de le faire, mais il était forcé d'attendre les directives, le temps d'être dehors. Après, on verrait bien si il continuerait de suivre la route de ce groupe des moins communs.